La colère d’Izanagi

La colère d'izanagiComprendre une société. Casser des codes, faire sauter des préjugés. Autant que l’intrigue, le roman policier explore ce qui nous entoure. Il ouvre des portes qui permettent au lecteur de mieux appréhender l’univers.

La colère d’Izanagi s’inscrit dans cette démarche. Aux côtés d’une enquête ancrée dans l’actualité, il décrit une autre vision du Japon, de leurs habitants et de leurs modes de vie. C’est ainsi qu’il montre que les japonais n’échappent pas aux maux de la mondialisation, dans son envers le plus sombre. Attaques informatiques, attentats, manipulations : la violence n’est plus l’apanage des seuls yakusas.

Deux flics que tout oppose à l’origine, sexe, caractère, vie sociale, etc. se voient entraîner dans une spirale infernale dans laquelle ceux qui y sont pris ne trouveront que rarement l’issue.

Avec de belles scènes d’action et des références au passé - nul ne peut y échapper - ce livre ne laisse pas de répit au lecteur. On ne plaisante pas avec les légendes !

Notice de l'éditeur

Tokyo.
Un incendie criminel ravage le cœur de l'un des plus grands quartiers d'affaires au monde.
L'enquête est confiée à Hayato Ishida, flic prodige mais solitaire qui tente de se reconstruire en marge de la Crim. Il est rejoint par Noémie Legrand, franco-japonaise décidée à briser les chaînes d'un quotidien frustrant.
Sur leur chemin, un couple d’étudiants dans le besoin, à la merci d'une communauté où solidarité rime avec danger.
Et, tapi dans l’ombre, celui qui se fait appeler Izanagi, bien décidé à mettre son plan destructeur à exécution.