Le portrait de la Traviata

The portrait of Traviata Do Jinki

Qu'est-ce qui distingue un roman policier coréen d'un roman policier français ou anglais ? Rien, quand ce dernier est à énigme.

Qui a perpétré ce double assassinat ? Un cambrioleur, un voisin, un jaloux ? Pour quel mobile ? Comment est-il entré, comment est-il sorti sans être vu, alors que l'entrée de l'immeuble se trouve dans le champ d'une caméra de surveillance filmant jour et nuit ? Etait-il seul ou le crime a-t-il été perpétré à plusieurs ? Homme, femme ? Les suspects défilent, les pistes sont explorées une à une, les policiers s'acharnent malgré leurs échecs à répétition.

Ce livre raviera les amateurs du genre, adeptes du Cluedo, du Mystère de la Chambre jaune et des enquêtes d'Hercule Poirot.

Pour les nostalgiques, une phrase reviendra à l'esprit quand le pot aux roses sera découvert : "Oui, mais c'est bien sûr !"

Notice de l'éditeur

Deux morts dans un appartement au premier étage d'un immeuble paisible de Séoul. La femme qui y habitait - un coup de poinçon pour elle - et un voisin - un coup de couteau pour lui -, un type détestable qui lui tournait autour ces derniers temps. Et puisque le principal suspect gît à côté de la victime, il faut chercher ailleurs. Le concierge pourrait faire un coupable correct, le commissaire Lee Yuhyeon boucle son enquête et l'envoie en procès. 

Mais rien ne se passe comme prévu. L'innocence du vieux bougre s'impose, le procès est un fiasco. C'est alors qu'au téléphone, Lee Yuhyeon entend un rire familier et moqueur, celui de l'avocat Gojin, "l'avocat de l'ombre". Oui, il faudra tout recommencer, tout reprendre depuis le début. Et plonger dans le milieu de la nuit pour y trouver de nouvelles pistes, jusqu'à la plus stupéfiante vérité.