Le charme d'Aurelio Zen opère toujours, même quand l'histoire est légère, comme c'est le cas dans Et puis tu meurs... On se laisse porter par son rythme chantant qui nous propulse au cœur de l'Italie. Un conseil : lire auparavant le roman précédent, Orage de sang.
Notice de l'éditeur
Membre d'un corps d'élite, la Criminalpol, Aurelio Zen est de retour, mais personne n'est censé le savoir. Après les mois d'hôpital qui lui ont été nécessaires pour se remettre d'un attentat à la bombe contre sa voiture, il fait le mort sous un faux nom dans une station balnéaire de la côte toscane, en attendant de témoigner bientôt dans un procès antimafia. Les instructions de Zen sont claires : rester à l'écart et goûter les classiques vacances italiennes à la plage - se prélasser au soleil dans sa chaise longue réservée sur une bande de sable pâle très bien tenue, manger du poisson et des fruits de mer, et engager un petit flirt léger avec la séduisante femme assise sous le parasol voisin. Mais Zen se laisse gagner par l'inquiétude alors qu'un nombre inquiétant de morts s'accumulent autour de lui. Combien de temps avant que la mafia n'achève son sale boulot ?