la souricièreLes lieux abandonnés suscitent des sentiments d'oppression, de peur. L'ancien Palais de justice ne fait pas exception, accolé au maintenant déserté célèbre siège de la Police judiciaire parisienne du 36 Quai des Orfèvres. Il faut dire que ces historiques bâtiments abondent en couloirs sinistres, en cachots désaffectés, en murs suintant d'humidité.

Le cadre est donc parfait pour accueillir l'histoire glaçante et tortueuse que devra affronter la commissaire Edwige Marion et son équipe. Cadavres, tortures, trahisons et chausse-trapes seront au rendez-vous dans ce polar dont on espère qu'il ne sorte que de l'imagination de son autrice.

Attachez vos ceintures et en voiture. Dérapages garantis !

 

Notice de l'éditeur

Vador, violeur en série, se suicide en prison après la visite d’un mystérieux prêtre. Cette mort bouleverse d’étrange façon la vie de la capitaine Valentine Cara, qui se retrouve au cœur d’un drame familial. Alors que toute la police parisienne se mobilise pour retrouver un homme politique subitement disparu, les entrailles de l’ancien Palais de justice et les cellules désaffectées de la bien nommée Souricière sont le théâtre de scènes terrifiantes. Un homme qui se fait appeler Hadès condamne et, en véritable dieu des Enfers, juge ceux qu’il estime nuisibles à la société. Jusqu’au jour où le fantôme d’une femme de son passé revient le tourmenter.
Scénarios criminels et darknet, hallucinations et crimes sectaires… La commissaire Edwige Marion voit se refermer sur elle et son équipe un piège qu’il semble impossible de déjouer.