Impossible de passer devant le Conservatoire des Arts et Métiers sans penser au Pendule de Foucault. Impossible de voir un grimoire , des enluminures dans un vieux manuscrit, une bibliothèque ancienne sans penser au Nom de la rose. Umberto ECO nous a légué ses images, en bousculant les codes et en s'amusant bien avec. Il a joué avec nos certitudes avec encore plus de malice.
Adso, Guillaume de Baskerville conserveront une sacrée place dans la littérature policière, et dans la littérature tout court.
A lire et à relire, encore et encore, pour le plaisir et pour chercher toutes les références et les clins d’œil qui y figurent. Bon courage. Umberto ECO n'a jamais dit son dernier mot !