Après une aventure plutôt décevante à Honk Kong, Volte-face renoue avec le style où l'on sent que Michael Connelly est aujourd'hui le plus à l'aise : le roman policier juridique.
S'il y a quelques pages à oublier dans ce roman, ce sont les scènes d'action et une fin, hélas, un peu rapide.
Notice de l'éditeur
Grand avocat de la défense, Mickey Haller est bien surpris lorsque le procureur du comté de Los Angeles le prie un jour de plaider pour l'accusation. Et l'affaire n'est pas des moindres. Incarcéré depuis vingt-quatre ans pour le meurtre d'une fillette, Jason Jessup vient d'être libéré sous caution, le tribunal ayant conclu à la nécessité d'une révision de son procès suite à un test ADN qui semble l'innocenter.
Haller est sûr que Jessup est coupable et prend Harry Bosch comme enquêteur et son ex- épouse, Maggie McPherson, comme assistante. En face de lui, l'avocat Clive Royce, dit "l'astucieux", et des médias tout excités par ce procès : quoi de plus sensationnel qu'un tueur innocenté par son ADN ? A ceci près que Jason Jessup, qui parade devant les médias le jour, se livre à d'étranges activités la nuit…