assassin eighteen Quand Seventeen laissera-t-il sa place à Eighteen ? On a abandonné Seventeen à la fin du précédent opus dans une bicoque perdue et il s’apprête déjà à refaire le tour du monde.

On notera qu'entre le numéro 17 et le numéro 18 la terminologie s'est modifiée : l'agent est devenu assassin. Il y a des métiers qui perdurent, même s'ils changent de nom et celui de tueur à gages est de ceux-là.

Entre vengeance, cyber-attaques, meurtres et miracle, Seventeen vendra chèrement sa peau en nous entraînant dans des aventures qui feraient même pâlir James Bond. Dans le genre action, rien que de l’action, L’assassin Eighteen offre une bonne lecture récréative. Elle n’a pour seule prétention que celle de donner un agréable moment au lecteur.

Attention cependant. Entre deux exploits, John BROWNLOW s’inspire de quelques faits réels.
Alors 16, 17, 18...19 ?

Notice de l’éditeur

« J’attends que quelqu’un vienne me tuer. Cette nuit, toutes les conditions sont réunies. »
L’agent Seventeen s’est retranché dans la maison de Sixteen, son prédécesseur dans une lignée de super tueurs à gages. Il sait que quiconque aspire à devenir Eighteen devra d’abord l’éliminer.
Mais lorsqu’une balle étoile le verre armé de la baie panoramique du salon, le sniper se révèle être une fillette d’une dizaine d’années, mutique, farouche et terrifiée. Qui estelle ? Pourquoi elle ?
Du Spitzberg au port de Buenos Aires, à bord d’un mégayacht appartenant à d’impitoyables suprémacistes blancs, derrière les écrans de l’élite mondiale des hackeurs, l’adrénaline pulse non-stop.